vendredi 23 décembre 2016

mercredi 23 novembre 2016

L'avenir du ski dans le Cantal !

Décidément, dans la série plus bête tu meures, on pensait avoir presque tout vu mais ceux là en tiennent une sacrée couche.

Non contents de déstructurer l'humus, couper les mycelium des champignons, décapiter la régénération naturelle des arbres, détruire les jeunes pousses des plantes annuelles, ces pseudosportifs ne se rendent même plus compte de l'impact publicitaire désastreux que ce genre de film peut provoquer. Rappelons que la pratique du vélo, cheval est interdite en dehors des pistes et chemins prévus à  cet effet ainsi que pour la pratique du ski. Une action en justice est à l'étude. 

On ne manquera pas de vous donner des nouvelles de cette affaire. 

Initiation au droit de l'environnement - 5 décembre 2016 à Rodez

Journée de formation et d’échange associative «dynamique des milieux aquatiques»


Journée de formation et d’échange associative «dynamique des milieux aquatiques»

-   Mardi 6 décembre 2016   - 

Lacs, rivières, barrages, cascades, la richesse de l'eau du massif cantalien n'est plus à faire. Le Cantal est le pays de la truite sauvage, mais c'est aussi 2500 ha de retenues hydroélectriques qui ne sont pas sans impacts sur la dynamique fluviale et la biodiversité aquatique. Cette journée a pour but de comprendre ce qu'est la dynamique des cours d’eau et son rôle sur les milieux aquatiques et humides, de connaitre ses altérations et les moyens (réglementaires, techniques et financiers) de les réduire afin de préserver la qualité des rivières. L'occasion de s'interroger sur le rôle et les actions de nos associations pour préserver ces milieux.

Public visé prioritairement : adhérents d'associations de protection de l'environnement  - Gratuit

 

Programme et intervenants :

9h Accueil café

MATIN (9h30 – 12h)

- Qu'est-ce que la dynamique d'un cours d'eau ? Quelles sont ses altérations et les enjeux liés ? (Julien Saillard, CEN Auvergne)

- Milieux aquatiques cantaliens : problématiques et enjeux  (Xavier Barbeau, CATER 15)

- Les outils réglementaires pour préserver/restaurer la dynamique des cours d’eau (ONEMA 15)

Repas au restaurant à 10 min à pieds de la salle (à la charge du participant)

APRES-MIDI (13h30 – 17h)

- Le soutien de l'agence de l'eau à la préservation/restauration de la dynamique des cours d'eau et la biodiversité aquatique (Jérôme Salaün-Lacoste, AEAG délégation de Brive)

- Retours d'expérience sur la restauration de la dynamique de cours d'eau (Guillaume Laloge, EPIDOR)

- Temps d’échange : Quel rôle et actions des associations sur cette problématique ?

1/ Retours des participants sur les actions déjà réalisées en matière de gestion du milieu aquatique (réussites, échecs)

2/ Réflexion sur des actions et stratégies pour nos territoires (plaidoyer, journées chantier nature, réunions publiques…)

  3/ Détermination des besoins d’accompagnement éventuels.

 

Lieu :

Maison des associations (salle 2)

8 place de la Paix

15 000 AURILLAC

 Un départ pour covoiturage sera organisé à partir de Clermont-Ferrand, n’hésitez pas à répondre à ce mail pour vous signaler.

 

 

Merci de faire suivre l’information à vos adhérents ou dans votre réseau associatif !

S'inscrire!


FRANE – Florence Arnould

1 bis rue Frédéric Brunmurol

63122 CEYRAT

04 73 61 47 49

florencearnould.frane@orange.fr   

FNE Midi-Pyrénées

05.34.31.97.83


a.carlot@fne-midipyrenees.fr
www.fne-midipyrenees.fr

dimanche 25 septembre 2016

Un sondage qui peut changer la donne

Nous vous relayons un sondage de BFM  concernant le sujet suivant:

 « La région Auvergne-Rhône-Alpes juge les chasseurs plus légitimes sur la biodiversité que "les bobos des villes" et propose à ce titre de nouer avec eux un partenariat inédit, doté d'une subvention de près de 3 millions d'euros sur trois ans. Donner plus de moyens aux chasseurs dans la préservation de l'environnement, est-ce une bonne idée ? »
répondre par oui ou par non...

Alors, si vous le souhaitez vous pouvez participer et faire entendre notre voix. 

Lien du sondage : http://rmc.bfmtv.com/point-de-vue/donner-plus-de-moyens-aux-chasseurs-dans-la-preservation-de-l-environnement-bonne-idee-646037.html


lundi 19 septembre 2016

3 millions d'euros pour les chasseurs !

Notre cher président de région vient d'allouer une subvention de 3 millions d'euros aux chasseurs "pour protéger l'environnement" (la Montagne du Cantal du 15/09/2016). Après avoir réduit de 50% les subventions aux vraies associations de défense de l'environnement (FRAPNA, LPO etc) de la nouvelle région AuRA (engendrant du chômage!!), après avoir torpillé le projet de Parc Naturel Régional du Haut-Allier, Wauquiez continue son travail de sape de l'environnement. 
Décidément les .... ça ose tout et c'est même à ça qu'on les reconnaît. 

mardi 24 mai 2016

Déterrage de blaireaux à Saint-Poncy, un sport affligeant!

En réponse à plusieurs articles récents dans la presse locale, la Fdane réagit à la vénerie sous terre. Pour la FDANE, cette pratique est une affligeante démonstration de chasse injustifiable dans une société dite civilisée.


Si son nom ne figure pas sur la liste nationale des espèces dites « nuisibles », le blaireau est toujours considéré comme un gibier et intéresse à ce titre les Fédérations de chasseurs. En plus de la période de chasse au tir pour la campagne 2015-2016 (du13 septembre 2015 au 29 février2016) qui leur donne la possibilité de tir crépusculaire (1h avant et 1h après le coucher du soleil) certains chasseursse voient octroyer deux  périodes de chasse complémentaires autorisées par arrêté préfectoral (du 1 juillet 2015 au 15 janvier 2016 et du 15 mai 2016 au 30 juin 2016). A noter que le 1 juillet 2016 commencera la campagne 2016-2017 !

C'est ainsi que le blaireau se retrouve chassé pendant plus de neuf mois par an.

Si le blaireau se trouve sur le devant de la scène c’est dans le but présumé de lutter contre les dégâts de l’espèce dont les impacts sont souvent exagérés. Il mange essentiellement des lombrics, ainsi que des champignons, des insectes, des micromammifères… et parfois, oui, il lui arrive de visiter les champs pour y consommer des graines au stade laiteux (blé, avoine, maïs). 

Comme le renard, le blaireau consomme des rats taupiers. Les massacres de ces animaux permet aux rongeurs de pulluler plus fortement.



Compte tenu du mode de vie nocturne du blaireau, le prélèvement à tir ne s’avérant pas rentable, les chasseurs utilisent pour cette espèce une méthode de capture plus radicale à savoir, le déterrage. Cette pratique est détailléedans l'article 3 de l'arrêté du 18 mars 1982 , cette chasse consiste « à capturer par déterrage l'animal acculé dans son terrier par les chiens qui y ont été introduits ou à l'y faire capturer par les chiens eux-mêmes. Seul est autorisé pour la chasse sous terre l'emploi d'outils de terrassement, des pinces destinées à saisir l'animal et d'une arme pour sa mise à mort, à l'exclusion de tout autre procédé, instrument ou moyen auxiliaire, et notamment des gaz et des pièges...».

Encore appelé « vènerie sous terre », la pratique est une autre réalité. Les chiens après avoir acculé le ou lesblaireaux au fond du terrier les mordent et les stressentpendant de longues heures. C’est le temps nécessaire aux chasseurs munis de pelles et pioches pour creuser et atteindre la bête ! Les « déterreurs » extirpent les blaireaux vivants ou morts de stress à l’aide d’énormes pinces métalliques qui leur infligent de douloureuses blessures. A la sortie du terrier ils sont exécutés ou parfois offerts vivantsaux chiens qui finissent le travail en les éviscérant. Il faut bien les récompenser pour leur aide

Loin d'être un « outil de gestion », ce statut ambigu permet aux équipes de déterrage de se livrer à une véritable chasse-loisir, durant une période de fermeture générale de la chasse. Ce mode de chasse est un loisir dont la brutalité, qui n’est plus à démontrer, heurte nombre de nos concitoyens. Les scènes filmées par les pratiquants eux-mêmes (accessibles au grand public via les sites internet)témoignent d'actes violents et de comportements peu acceptables envers les animaux. Cette chasse se pratique même lors des périodes de reproduction et d’élevage des petits.

Ces pratiques particulièrement cruelles n'ont rien à voir avec la gestion ou la régulation des populations mais visent uniquement à honorer les meilleurs déterreurs, ou meilleurs chiens de terrier au nom de la tradition. 

Ainsi lors’ de la dernière assemblée générale de la fédération de chasse du Cantal, le bilan des déterreurs été mis en avant par leur président : «. Le tableau départemental est passé de 1.000 captures en 2014 à près de 1.400 en 2015, soit une augmentation de l'ordre de 40 % due en particulier à un effort accru des « déterreurs », qui ont assuré 800 captures, contre 500 l'année précédente… »

 

En France, en plus des 2 000 blaireaux écrasés sur les routes, au moins 170 000 blaireaux sont exterminés chaque année par ce seul mode de chasse, chiffres auxquels il faudrait ajouter les captures accidentelles par piégeage.

 

Le blaireau d’Eurasie est considéré par l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature) comme une espèce à surveiller en France, il est protégée dans la plupart des autres pays européens (Grande-Bretagne, Belgique, Hollande, Suisse, Espagne, Luxembourg, Italie, Belgique, Pays-Bas, Danemark, Grèce, Irlande, Portugal ).

 

Ces pratiques aberrantes et barbares qui divertissent quelques milliers de pratiquants et révoltent des millions de personnes doivent cesser ! Le blaireau, comme tout être vivant, joue un rôle très important dans l’écosystème et comme tout être vivant a bel et bien sa place dans la nature. 

 

 

 

 

 

 

mercredi 16 mars 2016

Après les faucons de Turlande, voici les vrais d'Urlande ...

Le site du rocher d'Urlande (commune de Saint-Etienne-de-Chomeil dans le Cantal) suivi depuis les années 80' en tant que site de nidifcation du Faucon pélerin est menacé.

 

Cette année encore, un couple s’est installé et a débuté sa reproduction sur le site. De plus, chaque année, la falaise abrite la nidification de l’Hirondelle de rochers. Le Grand Corbeau y a également niché. Dans la forêt environnante, un couple de Buse variable est identifié et ce secteur est également favorable au Milan royal dont la reproduction est probable dans les environs.

Toutes ces espèces sont protégées par la loi, c'est-à-dire que sont interdites sur tout le territoire métropolitain et en tout temps : la destruction intentionnelle, la perturbation intentionnelle des oiseaux, notamment pendant la période de reproduction et de dépendance, la destruction, l'altération ou la dégradation des sites de reproduction de ces espèces (cf. Arrêté du 29 octobre 2009 fixant la liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection). Certaines sont également menacées et méritent toute notre attention comme le Faucon pèlerin et le Milan royal (directive européenne oiseaux, listes rouges nationale et régionale).

Un projet de via ferrata est en cours d'étude. Alors que les travaux d'équipement sont programmés pour l'automne, les décideurs (la commune de Saint-Etienne-de-Chomeil et la Comcom Sumène-Artense) n'ont semble-t-il pas voulu intégrer la présence de ces espèces.


L'espèce protégée la plus patrimoniale est bien entendu le Faucon pèlerin. L'Auvergne héberge très peu d'individus de cette espèce emblématique des falaises, avec seulement 70 couples dans notre région et environ 35 dans le Cantal. De plus, dans les années 70-80, le Faucon pèlerin fut le symbole de la lutte naturaliste contre le DDT et le marché noir des fauconniers. Après avoir frôlé la disparition de notre territoire national et malgré des améliorations notables (sa protection nationale en 1976, l'interdiction du DDT), cette espèce emblématique de nos falaises est encore classée de nos jours dans les "Espèces menacées au niveau régional en tant qu'espèces vulnérables".

Faucon pèlerin (photo libre de droit)

Malgré cela, sous l'impulsion d'associations de sports dits de pleine nature, des projets de via ferrata fleurissent aux quatre coins de notre département, plus destructeurs les uns que les autres.
  • Le rocher de Turlande (commune de Paulhenc dans le Cantal) sur la Truyère est aujourd'hui défiguré par des câbles et des cordes à demeure (voir notre article) au mépris de la nidification des Hirondelles de rochers et Faucons crécerelles (elles aussi protégées, et autres Faucon pèlerin et Aigles bottés présents dans le secteur),
  • La via ferrata de Sainte-Genevieve-sur-Argence (Aveyron) toujours sur la Truyère a éliminé un site de nidification du Grand duc d'Europe. Elle n'est qu'à quelques kilomètres en aval de Turlande. Belle logique de développement messieurs les aménageurs ! d'autant plus que de nouveaux projets d'extension de via ferrata voient le jour entre Rueyres et le barrage de Labarthe en Aveyron,
  • La falaise de Vergne Nègre au lac des Graves (commune de Lascelle - Cantal) est elle aussi souillée par une via ferrata. Le Grand duc d'Europe connu depuis de nombreuses années a abandonné le site,
  • La falaise de Bort-les-Orgues est équipée de voies d'escalade et est praticable sans aucune restriction alors qu'un couple de Faucon pélerin, bon an mal an, tente de s'y reproduire depuis des années,
  • Le site des Grivaldes (commune de Lapeyrugue dans le Cantal) où un couple de Faucons pèlerins niche depuis de nombreuses années est aussi équipé de voies d'escalade. Heureusement ce site a été retiré du topo d'escalade du Cantal,
  • Aujourd'hui c'est le rocher d'Urlande qui est menacé.
Ce mardi, alors que des naturalistes observent le couple en pleine parade et accouplement, des grimpeurs sont venus sur les voies fraichement équipées sur le rocher d'Urlande. Les cris d'alarme des  faucons s'entendaient à des centaines de mètres et ne pouvaient pas être ignorés. Malgré cela, les grimpeurs ont quand même escaladé le rocher directement sous la zone potentielle de nidification. Les gendarmes ont été prévenu et se sont rendus sur site mais trop tard, la cordée était déjà repartie.

L’aménagement d’une via ferrata sur cette falaise peut mettre en péril le maintien de ces espèces sur le site (destruction de site de nidifications, dérangement pendant les études, les travaux, puis pendant l’utilisation). C'est une illusion bien encrée dans la tête des aménageurs que de croire que ces espèces de falaise iront nicher ailleurs. Il n'y pas d'ailleurs pour elles. Tous les biotopes favorables sont déjà occupés. Et oui, ces espèces sont rares parce qu'elles sont exigeantes sur la qualité du rocher, la hauteur de falaise, la protection contre les prédateurs etc.. Supprimer un site, n'est pas un report sur un autre site vierge. C'est en général une perte sèche de biodiversité.

Le service juridique de la FRANE est mobilisé et est prêt à déposer plainte si nécessaire. Tout sera mis en œuvre pour que la présence des espèces protégées soient prises en compte même si cela doit remettre en cause tout ou partie du projet.

lundi 8 février 2016

Non à la chasse au loup !


La population de Loup en France est officiellement en régression. 282 loups ont été recensés en 2015 (301 en 2014) dans une trentaine de départements, majoritairement dans les Alpes, le Massif central ou les Pyrénées.

34 loups ont été déjà abattus légalement depuis juin 2015, alors que le plafond fixé jusqu’en juin 2016 est de 36 individus (12 de plus que pour la période 2014-2015). 

À l’inverse, les éleveurs de brebis et moutons font pression pour mettre fin à la protection internationale dont jouit le loup et augmenter les autorisations de tirs.

On rappelle que le préjudice "intolérable" dont est responsable le loup est de

8 935 animaux tués par le loup en 2015 (8 768 en 2014). Par rapport aux 8 millions de têtes ovines du cheptel français ça fait environ 1/1000, c'est à dire rien qui justifie la "crise" actuelle autour de se sujet comme le saccage des locaux de nos potes de l'ALEPE en Lozère ni la complaisance de la justice face à ces violences (les éleveurs inculpés ont subi des peines symboliques).

Pour plus de détails, voir ici la source de l'article. http://www.pelerin.com/L-actualite-autrement/Faut-il-chasser-ou-proteger-le-loup

samedi 6 février 2016

Des agriculteurs lâchent des rats taupiers !

Quelle surprise !

Nous avons été étonnés d'apprendre dans le journal "La montagne" du 29/01/16 que des campagnols ou Rats taupiers, ont été lâchés dans les couloirs de la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations du Cantal par des agriculteurs en colère. Cela trahi le niveau d'exaspération de la profession certes mais cela nous montre que les agriculteurs sont capables de se fournir en "rats" vivants. Tiens donc ! D'où proviennent ils ? D'un élevage ?

C'est un peu fort de la part d'une profession dont certains ont ouvertement fait courir des ragots aussi bêtes qu'infondés sur des lâchés de rats par les écolos du Cantal pour nourrir les rapaces. Et oui bien sûr !! et ce en même temps que les lâchés de loups et de vipères !



Acculés par la logique productiviste et aveuglés par leur méconnaissance des lois de la nature qui régissent la dynamique des populations de campagnols, une partie de cette profession (l'autre qui pense comme la Fdane est sommées de se taire) cherche une solution à court terme qui n'existe pas.

La, les solutions sont pour le moyen-long terme. Pour réduire l'impact des pullulations de campagnols, il faut revoir toute la manière de gérer et exploiter les milieux agricoles et globalement toute la nature. Revenir à des pratiques douces, parcimonieuses et respectueuses de la vie est la seule et unique porte de sortie. Cette démarche peut en plus être soutenue par des labels comme Agriculture Bio. Les mesures à appliquer ne sont pas très compliquées:

1- Ouvrir les yeux. On ne peut pas revenir à des pullulations acceptables en empoisonnant indistinctement et indirectement les campagnols et leurs prédateurs,

2- Cesser d'accuser les autres (écolos, État...). Il faut changer ses pratiques pour changer le monde,

3- Arrêter de tuer les principaux prédateurs des campagnols, le renard, la fouine, la martre, l'hermine, la belette... Bien au contraire de ce qui est fait, il faut les bichonner. Ce sont les meilleurs alliés des agriculteurs. A ce titre les agriculteurs en colère feraient mieux d'aller manifester devant la fédération des chasseurs pour protéger les prédateurs des campagnols.

4- Replanter des haies arborées pour favoriser les déplacements des prédateurs. Les haies sont en plus sources de biodiversité pour la flore et le reste de la faune,

5- Réduire, voire stopper l'utilisation de produits toxiques dans la nature (traitements de prophylaxie et pesticides notamment). En plus de préserver notre environnement, les agriculteurs préserveront leur santé.

Voilà quelques idées non exhaustives qui pourront dans quelques années porter leurs fruits.